VISITA DEL ENVIADO
ESPECIAL DE LA ONU, CRISTOPHER ROSS, A LOS TERRITORIOS OCUPADOS DEL SAHARA
OCCIDENTAL
Boletín informativo del
domingo, 24 de marzo 2013
Europa Press
Algérie Soir
Tercera Información
Periodistas en Español
Global Post (EE.UU.)
Dreuz
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EUROPA PRESS
Sáhara
Christopher
Ross se reúne con cargos públicos y representantes de la sociedad civil
saharaui
MADRID, 23 Mar. (EUROPA PRESS) -
El enviado personal del secretario general de la
ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross, se entrevistado con cargos
públicos y representantes de la sociedad civil saharaui.
En concreto, Ross se ha reunido
este sábado con el wali de la región, Jalil Djil; con el presidente de la
región de El Aaiún-Bojador-Saguia el Hamra, Hamdi Ould Sidi Errachid, y con
dirigentes de las tribus saharauis, informa la agencia de noticias oficial
marroquí, MAP.
Las autoridades han trasladado a
Ross su apoyo a la iniciativa de autonomía planteada por Rabat como solución al
contencioso del Sáhara Occidental, colonia española ocupada militarmente por
Marruecos desde 1975.
Errachid ha destacado el apoyo de
los cargos electos como representantes legítimos de la población de la región a
la iniciativa de autonomía y su lealtad al trono marroquí y ha denunciado que
el Frente Polisario mantiene a miles de saharauis "secuestrados" en
los campamentos de refugiados de Tinduf (Argelia). El presidente ha destacado
además las inversiones en infraestructuras, servicios públicos, sanidad y
educación y el proceso de modernización y construcción democrática.
Ross comenzó el viernes una nueva
gira por el Sáhara Occidental y se reunió en El Aaiún con asociaciones de la
sociedad civil y de defensa de los Derechos Humanos. Así se reunión en la sede
de la Misión de Naciones Unidas para el Referéndum en el Sáhara Occidental
(MINURSO) en El Aaiún con la presidenta del Colectivo Defensores Saharauis de
los Derechos Humanos (CODESA), Aminetu Haidar.
El viaje de Ross comenzó su visita
el pasado miércoles en Marruecos y continuará hasta el 3 de abril e incluye
además de reuniones en Marruecos y la parte del Sáhara Occidental ocupada por
Marruecos, encuentros con dirigentes del Frente Polisario en la parte de territorio
que controla el grupo y con autoridades de países vecinos como Argelia y
Mauritania.
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ALGÉRIE SOIR
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«Ross et la Minurso, témoins des pratiques coloniales marocaines»
La tournée de l'envoyé personnel du secrétaire
général de l'ONU dans la région, entamée par la capitale du royaume chérifien,
ne saurait occulter la nature du système colonial marocain au Sahara
Occidental.
Si au cours de ses entretiens avec les
responsables marocains, Christopher Ross s'est enquis de l'approche marocaine
en direction du Sahara Occidental, sa visite dans les territoires sahraouis
occupés lui a rappelé, voire réaffirmé, la nature de la question du Sahara
Occidental. En visite des villes sahraouies encore sous occupation marocaine,
samedi à El-Ayoune, et hier à Dakhla,
Christopher Ross et des représentants de la Mission des Nations unies pour un
référendum au Sahara Occidental (Minurso), présente depuis le cessez-le-feu en
1991, ont été témoins de la répression des services marocains à l'encontre des
manifestations pacifiques des Sahraouis. Les témoignages de la délégation de
Sahraouis venus des territoires occupés, hier à Alger,
ont porté sur les pratiques coloniales marocaines d'atteintes à la dignité et
aux droits de l'Homme. Pour le militant sahraoui Hassen Abba, Rabat
persiste «par tous les moyens à étouffer la voix sahraouie qui s'exprime
pacifiquement en faveur du droit à l'autodétermination et à l'indépendance du
Sahara Occidental». Pour lui, «ces pratiques coloniales d'humiliation des
Sahraouis, jusqu'à déshabiller de force dans la rue les femmes sahraouies
manifestant pacifiquement, interpellent l'ONU qui doit assumer ses
responsabilités engagées pour la tenue d'un référendum d'autodétermination». Si
au cours de la conférence de presse qu'a abritée le siège du Comité national
algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS», la délégation sahraouie a
exprimé l'espoir de voir l'ONU promouvoir «la force du droit international sur
le droit de la force», il a été question aussi d'un appel lancé à Christopher
Ross. Ce dernier est invité à faire valoir l'esprit et les textes de la charte
onusienne dans la résolution du conflit opposant le Front Polisario et le Maroc
sur le Sahara Occidental, question de décolonisation. «Assez de la complaisance
de l'ONU avec la politique coloniale marocaine au Sahara Occidental», a
souligné Hassen Abba, résumant ainsi l'appel des Sahraouis à l'adresse de
Christopher Ross. Au terme de sa tournée dans la région et le rapport que
Christopher Ross présentera au Conseil de sécurité le 22 avril prochain,
«l'application effective du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination est
l'ultime voie à même de mettre un terme aux souffrances des Sahraouis». Rabat
qui n'a cessé de manœuvrer avec le soutien de ses alliés, notamment la France,
dans sa colonisation depuis 1975 du Sahara Occidental persiste à miser sur le
fait accompli, en vain. Les militants et les militantes rencontrés hier, et qui
vont prendre part ces jours-ci, au Forum social mondial qu'abritera Tunis,
comptent porter «haut et fort la portée de la lutte du peuple sahraoui pour sa
dignité et son indépendance». Au moment où des capitales occidentales se
précipitent dans leur soutien aux luttes pour les droits de l'Homme et à la
démocratie sur la scène arabe, «un silence pesant persiste en direction des
droits fondamentaux du peuple sahraoui à vivre libre et indépendant», a souligné
H. Abba. Ce qui pour lui illustre amplement «la politique de deux poids deux
mesures promue par l'Occident dont Paris
dans son soutien de la colonisation marocaine au Sahara Occidental». Pour la
délégation des militants sahraouis des territoires occupés, «nous la nouvelle
génération de Sahraouis, qui vit sous l'occupation marocaine et celle des camps
des réfugiés, sommes tout autant déterminés que nos ainés pour l'indépendance
de notre Sahara occidental du joug colonial marocain». Et un militant de
relever que «nous sommes toujours prêts aux sacrifices pour notre droit à
l'indépendance, nous avons des détenus dans les geôles marocaines et nous
sommes prêts à donner des martyrs pour notre indépendance». De son côté,
l'ambassadeur de la République arabe sahraoui, Brahim Ghali, la visite de Ross
dans les territoires occupés lui a permis encore une fois de s'imprégner
amplement de la réalité du système colonial marocain. A notre question sur les
événements sur le plan régional, la guerre au Mali,
et Rabat qui manœuvre sur fond de sa présence
coloniale au Sahara occidental avançant sa proximité géographique avec le Mali,
M. Ghali a été catégorique : «Le Maroc est un Etat narco-terroriste et ses
services de renseignement sont à l'origine de la création du Mujao au Nord-Mali.».Le
diplomate sahraoui ajoutera plus loin que Rabat
manœuvre en vain, car «l'histoire, la géographie, le peuple sahraoui et sa
lutte pour son indépendance sont en permanence un rappel de la nature coloniale
marocaine au Sahara Occidental». Christopher Ross est appelé au cours de sa
visite dans la région et les étapes futures à promouvoir une solution sur la
base de la résolution 1514 pour le règlement de la décolonisation du Sahara
Occidental.
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TERCERA INFORMACIÓN
La nueva gira de Christopher Ross y
el silencio e indiferencia de la corresponsalía de la RTVE en Rabat
24-03-2013
Artículos de Opinión | Poemario por
un Sahara Libre
Martin Luther King
decía: “"Al final, no recordamos las palabras de nuestros enemigos sino el
silencio de nuestros amigos". Y el sabio aforismo saharaui que va en la
misma dirección reza; “aquel a quien no aprecias te trae malos sueños”.
Evidentemente no es el caso de los pueblos de España con el pueblo saharaui y
su proceso de liberación. Diríamos más bien los intereses ocultos que trazan
las líneas editoriales de los grandes medios de comunicación, amen cuando los
gráficos ascendientes y más descendientes en las economías del mundo se
tambalean inseguros de su futuro económico. Cuando la sinrazón se impone sobre la
razón y el corazón de los hombres indiferentes se hace aun más opaco para no
decir nada más que el silencio mientras las caravanas pasan y los perros
ladran.
España como estado
tiene una histórica deuda con el proceso de descolonización inconcluso en su excolonia,
el Sahara Occidental. España según Naciones Unidas y que nos corrijan los
hombres buenos si nos equivocamos, sigue siendo la potencia administradora del
Sahara Occidental, a pesar de sus pesares. Hace tres días que un evento
informativo de trascendental importancia para los medios y la opinión pública
española acontece por segunda vez en la región del Sahara Occidental, sin que
el ente público de RTVE a través de su corresponsal en Rabat la periodista Gema
García, mencione en lo más mínimo la visita de Christopher Ross desde el lugar
donde el Enviado Personal del Secretario General de la ONU para el Sahara
Occidental ha iniciado su visita a la región del norte de África para buscar
una solución que afecta a todos en ambas riveras de África y Europa.
El silencio puede
ser intencionado, y posiblemente no a voluntad individual de un corresponsal a
quien se le dicta una política editorial a seguir, doctrina por supuesto
antidemocrática y anti derecho de información al oyente español, que con sus
impuestos mantiene el ente y tiene el derecho de ser informado de un proceso
que le afecta directa o indirectamente, qué es lo que pasa en el conflicto de
la excolonia. Agencias de Latinoamérica, redes sociales, medios alternativos y
hasta periódicos y sitios web en el propio Marruecos, donde la censura y la
falta de libertad de información y expresión es el pan de cada día para muchos
informadores, tienen sus páginas cargadas de información sobre esa gira de Ross
en la región. Al menos al ciudadano español le debe el ente público RVTE este
derecho de ser informado, cuando sus medios siguen desplegados en la capital
marroquí, Rabat, y tal vez puedan, si lo intentan, acceder a los territorios
ocupados del Sahara Occidental, en El Aaiun y en Dajla. Sería una ocasión de
hacer un buen trabajo profesional y recabar muchas historias, en un escenario
en que Ross estará, por primera vez en Dajla, dos días en contacto con la
población y la sociedad civil saharaui que vive bajo ocupación y un sin
precedente bloqueo informativo. En Dajla especialmente desde que en los años
ochenta fuera anexionada por Marruecos tras abandonarla Mauritania en 1979 a
raíz de firmar con los saharauis un acuerdo de paz vigente entre los dos
estados desde entonces.
Y como dijo aquella
sufragista “¡Ay libertad cuantos crímenes se comenten en tu nombre!”
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PERIODISTAS EN ESPAÑOL
Domingo 24 de Marzo de 2013
SPS.- Las fuerzas de seguridad marroquíes en el
Sahara Occidental cargaron violentamente el sábado 23 contra una manifestación
pacífica de ciudadanos saharauis, tras la visita del diplomático Christopher
Ross, enviado personal del secretario general de Naciones Unidas, informaron
fuentes desde los territorios ocupados.
Las fuentes, que no cuantificaron el número de
víctimas, indican asimismo que en la ciudad ocupada de El Aaiún, capital del
Sáhara Occidental, hubo manifestaciones esporádicas en las calles de Smara,
Daddach, y en el Distrito Matalaa, barrio en el que las autoridades marroquíes
impidieron el acceso de las ambulancias para la atención de las víctimas.
Los corresponsales de la Red Radio Maizirat en
El Aaiun informan a su vez de que el enviado personal de Ban Ki Moon ha sido
informado de la “brutal intervención” del aparato militar, que ha dejado un
saldo de mas de 20 heridos entre los manifestantes y decenas de ingresos en los
hospitales de la ciudad.
Según esta red, se confirmó el ingreso en el
hospital del activista Hasena Duihi, tras ser agredido. También se confirmó que
la activista Sultana Jaya fue agredida y sacada a la periferia de la ciudad,
donde fue abandonada.
Censura de
RTVE
Los medios saharauis se están haciendo eco del
editorial del sábado 23 de marzo de 2013 del Espacio Informativo Cultural EIC
Poemario por un Sahara Libre, en el que se critica que Radio Televisión
Española no haya hecho una cobertura profesional de la visita de Christopher
Ross.
“Hace tres días que un evento informativo de
trascendental importancia para los medios y la opinión pública española
acontece por segunda vez en la región del Sahara Occidental, sin que el ente
público de RTVE a través de su corresponsal en Rabat la periodista Gema García,
mencione en lo más mínimo la visita de Christopher Ross desde el lugar donde el
Enviado Personal del Secretario General de la ONU para el Sahara Occidental ha
iniciado su visita a la región del norte de África para buscar una solución que
afecta a todos en ambas riveras de África y Europa”, se señala.
Por el contrario, aseguran, “agencias de
Latinoamérica, redes sociales, medios alternativos y hasta periódicos y sitios
web en el propio Marruecos, donde la censura y la falta de libertad de
información y expresión es el pan de cada día para muchos informadores, tienen
sus páginas cargadas de información sobre esa gira de Ross en la región”.
En el editorial se destaca que “al menos al
ciudadano español le debe el ente público RVTE este derecho de ser informado,
cuando sus medios siguen desplegados en la capital marroquí, Rabat, y tal vez
puedan, si lo intentan, acceder a los territorios ocupados del Sahara Occidental,
en El Aaiun y en Dajla. Sería una ocasión de hacer un buen trabajo profesional
y recabar muchas historias, en un escenario en que Ross estará, por primera vez
en Dajla, dos días en contacto con la población y la sociedad civil saharaui
que vive bajo ocupación y un sin precedente bloqueo informativo. En Dajla
especialmente desde que en los años ochenta fuera anexionada por Marruecos tras
abandonarla Mauritania en 1979 a raíz de firmar con los saharauis un acuerdo de
paz vigente entre los dos estados desde entonces”.
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GLOBAL POST
(EE.UU.)
AFP
Middle East & North Africa news agenda
LAAYOUNE: Last day of the visit of UN envoy to
Western Sahara, Christopher Ross, his second trip to the disputed territory
since being appointed in 2009, aimed at reviving stalled peace talks between
Morocco and the Polisario Front separatists. (MOROCCO-WSAHARA-UNREST-UN)
----------Victime collatérale de la situation au Sahel
Cette question
empoisonne les relations entre les deux pays depuis des décennies. La crise au
Mali – et la situation au Sahel en général – rend la recherche d’une solution
plus urgente encore.
Le premier ministre
marocain, Abdelilah Benkirane a récemment ulcéré l’Algérie en accusant cette
dernière d’être responsable de l’impasse actuelle dans la région.
En 1984, le Maroc
avait quitté l’Organisation de l’unité africaine (OUA) à la suite de la
reconnaissance, par l’organisation, de la République arabe sahraouie
démocratique (RASD). Il n’est jamais retourné dans l’organisation, et vit très
mal ce retrait. Il occupe 80% du territoire revendiqué par la RASD, et n’est
disposé qu’à accorder un statut d’autonomie à ce qu’il considère comme ses «
provinces du sud ».
L’ancien
ambassadeur américain à Alger, Christopher Ross, est actuellement chargé d’une
médiation par le secrétaire général des Nations unies pour le Sahara. Il estime
que, compte tenu de la volatilité au Sahel, il est urgent de régler cette
vieille querelle. Il rendra son rapport le 8 avril et le Conseil de sécurité
des Nations unies se penchera sur la question le 22.
En attendant, mardi
dernier, le jeune Islam, champion d’Afrique d’Optimist, a fêté son quinzième
anniversaire derrière les barreaux, dans le centre de détention pour mineurs
d’Agadir.
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